Une représentante de l’AFNOR1 a présenté lors de cette journée une étude scientifique : L’influence du port de la barbe sur le facteur de protection d’un équipement de protection respiratoire.
En substance, depuis l’étude2 menée dans l’Oise en 2016, la barbe était identifiée comme le principal facteur de risque par certains employeurs, alors que ces mêmes employeurs ne remplissaient pas leurs obligations de mettre à disposition des masques adaptés aux différentes morphologies.
Pas mal de sujets qui vont mettre de mauvais poil !!!
C’est le travail qui doit s’adapter à l’homme et non l’inverse et des solutions existent !!
Interdire la barbe sans faire l’effort de la mise de la prise en charge des effets sur site, la décontamination des agents au plus tôt, la marche en avant par l’aménagement des centres de secours, c’est annoncer la prise en compte de la sécurité des agents à peu de frais !!! Culotté diront certains.
Avec une application à géométrie variable en fonction du statut du personnel, restera LA QUESTION, la santé des sapeurs-pompiers volontaires serait-elle moins menacée par la présence de vilains poils que leurs collègues professionnels ?
Lire la suite
Commentaires récents